(Photo LOF - Perronneau réprobateur)
Il y a – posée sur le bureau de votre pasteloreporteur - dans l’entrée de LOF une paysanne surprise à la sortie du bain, un biscuit, par Joseph Descomps dit Cormier (1869-1950), grand sculpteur de fesses juvéniles art déco.
La question de posait de savoir pourquoi le magnifique portrait d’homme de Perronneau 1715-1783(1750, un travail de jeunesse incroyablement coloré), avait cet air réprobateur.
Un rare rayon de soleil sur le Descomps permet de comprendre que le Perronneau est fâché de ce que la paysanne lui cache ses charmes (enfin, essaie de ne pas tout montrer) et voudrait en voir d’avantage.
(Photo LOF - Tentative d'en monter un minimum)
Inutile de dire qu’à l’opposé s’explique très bien le regard fixe et précis d’un Pierre-Adolphe Hall (1739-1793), sévère protestant suédois (aussi appelé le Van Dyck de la miniature) néanmoins amateur de pleine lune.
(Photo LOF - Hall observateur)
Nous savons désormais le prénom de la chaste baigneuse : Suzanne. Suzanne et les pastels.
Bref, l’été les pastels sont comme tout le monde : ils observent et profitent des joies du bain.
Suzanne est bien pudique pour une jeune femme aimant se montrer les fesses à l'air, et comme si cela ne suffisait pas, et hop!, sur internet.
Rédigé par : João | 08 août 2005 à 10:34
Et moi qui craignait que certains d'entre eux ne s'ennuient... me voilà rassuré.
Rédigé par : Phil | 09 août 2005 à 05:24
Les sévères protestants suédois ne sont pas de bois.
En tout cas, Perronneau a du biscuit pour la route!
Rédigé par : JCP | 14 août 2005 à 09:10
Je n'avais jamais vu Suzanne et son environnement sous cet angle... très intéressant !
Rédigé par : elodie | 14 septembre 2005 à 10:11