(Photo Nicole Boschung)
The art of Creative Pruning de Jake Hobson est partiellement consultable sur Google books
Il y a des photos à regarder (p. 16, 20, 27..).
Poster un commentaire
Les commentaires sont modérés. Ils n'apparaitront pas tant que l'auteur ne les aura pas approuvés.
Vos informations
(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)
La taille en topiaire se dit donc "pruning" en Anglais ? La langue de Shakespeare sera toujours une constante source d'étonnement, pour moi...
Rédigé par : Phil' | 15/12/2011 à 03:11
Marqueyssac, West Dean... merci Jean-Paul, c'est quelque chose !
Rédigé par : Phil' | 15/12/2011 à 03:15
tu sais, la notion de taille est pour les gens du nord, spécialement les britanniques qui sont des vrais jardiniers, quelque chose avec un fond de sacrilège, Dans ces pays (les canadiens sont terribles, les allemands aussi) où la végétation se résume à 6 mois tout au plus et où la durée de séjour dans le jardin se compte en heures, la taille est considérée comme une mutilation.
C'est normal, les chauves aiment les cheveux longs.
Je disais toujours à Jim, le père d'Ann, qui ne comprenait pas mes heures passées à donner des formes aux végétaux : Jim vous vous rasez, vous vous coiffez, vous vous coupez les ongles, je fais pareil avec mon jardin.
Le jardin doit être propre et bien mis, pour lui et pour nous. Je me méfie des biodynamiques car leurs jardins sont des bidonvilles, c'est pour moi insupportable de nommer jardin une décharge, surtout un potager.
on dit que les grecs laissaient en friche les jardins sacrés, je n'en crois pas un mot, c'est une invention des gens du nord qui se sont appropriés leur culture. Sous nos latitudes (en ce moment les tropicales sont encore en végétation) la taille est une absolue nécessité, pour la santé des plantes, pour l’accessibilité, pour la beauté, car nous passons nos plus belles heures dans le jardin tous le jours, en ce moment compris. Laissés à eux même les jardins sacrés non arrosés non taillés auraient été des déserts pitoyables.
Rédigé par : jp | 15/12/2011 à 07:52
C'est toi qui as raison : on vit avec son jardin et dans son jardin. On ne "fait" pas un jardin pour soi. C'est un engagement total (comme certains animaux, un jardin a des exigences auxquelles on ne peut pas raisonnablement se soustraire).
Rédigé par : Phil' | 28/12/2011 à 07:05