(Photo LOF – Kumquats ronds, le meilleur des kumquats de bouche )
On fait ici les pruneaux (ameixas secas) au Porto rouge (un bon LBV) et au jus d’agrume.
Lente cuisson 3 heures à tout petit feu, repos, refroidissement, puis servir frais.
Cela donne un pruneau extrêmement doux.
A LOF le jus d’agrumes qui accompagne le Porto est le jus très doux des bigarades chinoises mûres du bigaradier à feuille de myrte.
Les pruneaux sont cuits avec des kumquats coupés longitudinalement et épépinés.
(Photo LOF – emplir ensuite de jus d’agrume et d’un bon Porto rouge à hauteur des fruits)
Ann demande qu’ils soient servis de façon à avoir dans la cuillère 1/8 de kumquat pour un pruneau.
D’autre demande 1/4.
En effet, le kumquat conserve après les 3 heures de cuisson une puissance qui s’impose au pruneau.
Quand on les mange ensemble la première sensation de douceur est rapidement remplacée par le contraste violent du kumquat, puis suit une progressive fusion des deux saveurs, qui donne en fin de dégustation une bouche remarquablement équilibrée longue et intéressante.
Largement plus intéressante que l’orange.
Il faut en revanche doser avec justesse.
Car même si le jus de cuisson repose à peine la bouche, le jeu pruneau-kumquat est bien la, durablement, dans un équilibre à étalonner.
Il faut que chacun dose sa propre bouchée selon sa sensibilité personnelle au kumquat diront les pruneaux,
ou l’inverse diront les kumquats.
(Photo LOF – à vous d'oser et de doser… )
On fait ici les pruneaux (ameixas secas) au Porto rouge (un bon LBV) et au jus d’agrume.
Lente cuisson 3 heures à tout petit feu, repos, refroidissement, puis servir frais.
Cela donne un pruneau extrêmement doux.
A LOF le jus d’agrumes qui accompagne le Porto est le jus très doux des bigarades chinoises mûres du bigaradier à feuille de myrte.
Les pruneaux sont cuits avec des kumquats coupés longitudinalement et épépinés.
(Photo LOF – emplir ensuite de jus d’agrume et d’un bon Porto rouge à hauteur des fruits)
Ann demande qu’ils soient servis de façon à avoir dans la cuillère 1/8 de kumquat pour un pruneau.
D’autre demande 1/4.
En effet, le kumquat conserve après les 3 heures de cuisson une puissance qui s’impose au pruneau.
Quand on les mange ensemble la première sensation de douceur est rapidement remplacée par le contraste violent du kumquat, puis suit une progressive fusion des deux saveurs, qui donne en fin de dégustation une bouche remarquablement équilibrée longue et intéressante.
Largement plus intéressante que l’orange.
Il faut en revanche doser avec justesse.
Car même si le jus de cuisson repose à peine la bouche, le jeu pruneau-kumquat est bien la, durablement, dans un équilibre à étalonner.
Il faut que chacun dose sa propre bouchée selon sa sensibilité personnelle au kumquat diront les pruneaux,
ou l’inverse diront les kumquats.
(Photo LOF – à vous d'oser et de doser… )
Rien à voir mais ce midi on a fait des daurades au four dans du papier alu avec seulement des épices, du sel, de l'huile d'olive, et de l'origan from JP of Portugal et ça a fait fureur ! On a pensé à vous.
Rédigé par : Lo | 21/02/2009 à 14:54
Je crois bien que j'irais jusqu'au fin fond de L'Algarve pour déguster ça !
je viens de parcourir vos dernières recettes et comme d'habitude je suis ,comment dire , scotchée diraient les jeunes , moi je vais dire : muette et charmée
Rédigé par : irisa | 14/03/2009 à 16:27