(Photo LOF – ail )
La vie du bruschettophage est semée de pièges.
Le pire : l’ail, ou le citron si vous l’utilisez à la place de l’ail.
Ni l’un ni l’autre ne doit être vieux, avoir traîné longtemps dans un placard, car vite ils deviennent forts, prennent mauvais goût, il les faut jeunes et impeccables.
Second pont aux ânes des bruschettophiles : la bruschetta garnie de cubes de tomate fraîche : bruschetta col pomodoro – quelle pomodoro ?
Partout on lit « une Italienne » …
l’olivette Roma ne donne qu’un plaisir atténué au bruschettologue : Cœur de bœuf est le meilleur rapport saveur/texture, bien sûr on peut faire joli avec des tomates de couleur, German green, Orange queen, etc.,
mais on revient toujours à Cœur de bœuf. (Photo LOF – Tomate Coeur de boeuf )
Faut-il peler la tomate ?
Certaine la passe même au micro-onde une trentaine de secondes
Les bruschettologistes n’ont pas tranché le débat, les deux se fait ou se font.
Enfin, le bruschetteur sait qu’on ne termine (car cela se passe à la fin) pas notre amie au gros sel, mais toujours au sel fin, ni au poivre blanc, mais toujours au poivre noir
Telle est axiomatique actuelle de la bruschettologie. (Photo LOF – Tomate Orange queen )
ahh, que c'est bon!
Même purement huile d'olive et ail!
Rédigé par : lory | 19/08/2007 à 09:31
Une belle petite bruschette!
Rédigé par : Lisanka | 19/08/2007 à 11:48