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« Gelée de feijoa aux fruits de la passion | Accueil | Olives de table »

14/11/2005

Commentaires

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Un peu à la manière de l'ami JCP, je dirais qu'il ne faut jamais négliger le navet. Même au cinéma...

J'adore les navets. Ta recette me donne bien envie... comme d'habitude!

Je ne suis pas dingue de navets, mais je veux bien me faire convertir. A essayer.

Le "sang de navet" de l'enfance de Jean-Claude, on appelait ça du "sang de scarole" chez moi. Je crois que c'est pire, car le "sang de navet" soigne les refroidissements au moins, tandis que le "sang de scarole" n'est quasiment que de la flotte...

je reconnais le joli plat, toujours aussi bien garni!
bon dimanche les amis

Je dois toujours me forcer à manger quand il y a des navets à table.

Je dois toujours me forcer à manger quand il y a des navets à table.

Puxa, este é realmente um lugar de olhar feliz. E diria mais: de paladar feliz!

Ça va me réconcilier avec le navet, ces bonnes nouvelles !
Un petit navet jeune et frais, c'est tellement délicieux avec du beurre que je n'y avais même jamais pensé avec un trait d'huile d'olive et du sel. Vraiment à essayer !
Quant au vin blanc, hum, je vais le garder pour mon verre. J'ai renoncé à cuire un légume racine dans du vin blanc : au bout d'une heure (hélas, en l'occurrence) ça reste dur.

Muito bon les navets à la coriandre. Problème de cette recette : avec une petite botte de navets, impossible d'en laisser pour goûter le reste froid...

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