(Photo LOF : entre la pomme et la compote)
Merci Ester de m’avoir rappelé l’importance de ne pas passer trop de temps en cuisine. Merci Maryse de nous avoir fait acheter cette incroyable machine à peler/trancher les pommes et les coings. La manipulation de ces outils technologiques démontre la distance qui nous sépare du paléolithique – peler une pomme avec un silex, même bien taillé, c’est une autre pair de manches.
Peler/trancher 1 volume de coing. Mettre à la cocotte minute avec 1 petit verre d’eau et une gousse de vanille bourbon. Donner 5 minutes de chuchotement, couper le feu, évacuer la vapeur et ouvrir. Pendant ce temps vous avez pelé/tranché deux volumes de pomme dont 1 de pomme acide et 1 de pomme douce. Ajouter les pommes aux coings mi-cuits, un petit verre d’eau. Fermer donner autres 5 minutes de chuintement de soupape. Petit feu toujours. Ouvrir, écraser avec la grande cuillère à confiture.
Nota 1 : Il existe une version germanique = cannelle à la place de vanille.
Nota 2 : préférez une bonne vanille au sucre vanillé. Ensuite : soit vous sucrez soit vous ne sucrez pas. Si vous ne sucrez pas, c’est que vous faites un régime. Si vous sucrez, sucrez pendant qu’elle est chaude. Passez en compotier, laisser refroidir. La compote de pomme évoque irrésistiblement l’enfance. C’est pourquoi on ne résiste pas à l’accompagner de broas de mel (gâteaux au miel, gras et sucrés spécialité portugaise bonne comme tout). Photo LOF :- Notre machine à peler les pommes est de couleur rouge. On trouve aussi des vertes. Toutes pèlent indifféremment des pommes rouges ou vertes (ou jaunes) On pense que ç’est encore une de ces trucs inutiles qui vont dormir dans le placard. C’est faux, c’est un objet de spectacle dont la démonstration est toujours un succès. Il en existe un grand choix. A Paris Dehillerin en vend des blancs, la Carpe avait le nôtre en vitrine cette semaine.
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